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Les vainqueurs d'étapes mythiques

À partir de la course, des conditions, du maillot, découvrez quel coureur à remporté cette étape du Tour de France.

Toutes les cartes

Luxembourgeois, je suis le plus talentueux des deux frères. Au Tour de France 2011, deuxième du général, je pars du peloton à 60km de l'arrivée pour m'offrir une victoire de prestige au col du Galibier et revenir à seulement 15 secondes de la première place.

Andy Schleck lors de la 18ème étape du Tour en 2011


Grimpeur français talentueux, je protège à merveille mon leader Thomas Voeckler dans les Pyrénées. J'arrive à gagner la mythique étape de l'Alpe d'Huez devant Samuel Sanchez et Alberto Contador.

Pierre Rolland lors de la 19ème étape du Tour de France 2011


En 1989, je possède 50 secondes de retard sur mon coéquipier avant la dernière étape, un contre-la-montre de 25km. Je gagne le chrono et le maillot jaune par la même occasion, à huit secondes près !

Greg Lemond lors de la 21ème et dernière étape du Tour de France 1989.

L'américain devancera Laurent Fignon de huit secondes, soit le plus faible écart entre le premier et le second.


Surnommé le "Pirate", je suis un des meilleurs grimpeurs de tous les temps. Je remporte huit étapes de montagne sur le Tour dont l'Alpe d'Huez en 1997. Je boucle les 21 lacets en 37 minutes et 35 secondes, un record. J'ai gagné le Tour de France l'année suivante.

Marco Pantani lors de la 13ème étape du Tour de France 1997


Le jour de la fête nationale, je m'échappe pendant 208km avec Axel Merckx et m'impose en solitaire, remportant par la même occasion un septième maillot à pois de meilleur grimpeur du Tour de France.

Richard Virenque lors de 10ème étape du Tour de France 2004


Tenant du titre, je me fais battre au général par mon coéquipier Greg LeMond cette année-là. Mais je remporte l'étape de l'Alpe d'Huez avec cinq minutes d'avance sur les autres, mais main dans la main avec LeMond.

Bernard Hinault lors de la 18ème étape du Tour de France 1986


Cette victoire n'est pas mythique en soi, mais elle me permet d'obtenir le maillot jaune et de remporter mon cinquième Tour de France, grâce à un contre-la-montre parfaitement maîtrisé.

Miguel Indurain lors de la 8ème étape du Tour de France 1995


Roi du sprint de 2009 à 2013, je réalise l'exploit de m'imposer quatre fois de suite sur les Champs Elysées, ce que personne, même Mario Cipollini, n'a réussi à faire.

Mark Cavendish lors de la 21ème étape du Tour de France 2012


Maillot jaune sur le dos, je réussis à m'extirper du peloton à 5km de l'arrivée avec mon dauphin néerlandais sur les Champs Elysées. Pour finir en beauté, je le règle au sprint et assois définitivement ma domination sur le Tour de France.

Bernard Hinault lors de la 22ème étape du Tour de France 1979


Sur les pentes du Mont Ventoux, j'écrase toute concurrence en surclassant, assis sur ma selle, Contador et Quintana notamment. Je deviens le seul coureur depuis Eddy Merckx à remporter le Mont Ventoux avec le maillot jaune.

Christopher Froome lors du Tour de France 2013


C'est une journée comme la France aime. En ce mois de juillet 1997, avec Cédric Vasseur maillot jaune, et moi-même maillot à pois, je gagne enfin une grande étape en devançant, s'il vous plait, Richard Virenque, Marco Pantani et Jan Ullrich.

Laurent Brochard lors de la 9ème étape du Tour de France 1997


Grimpeur espagnol renommé et vainqueur à multiples reprises du maillot à pois, je remporte une étape dans le Massif Central devant Jimenez. Ce que je ne sais pas, c'est qu'on assiste au même moment au duel de l'année entre Anquetil et Poulidor, ce dernier récupérant du temps pour la première fois sur le quadruple vainqueur du Tour.

Federico Bahamontes lors de la 20ème étape du Tour de France 1964


Cette année-là, la première place ne m'a jamais quitté. Avant le Tour, j'annonce même à la presse que je porterai le maillot jaune durant toute la course, exploit que je réalise, m'attirant les foudres du public.

Jacques Anquetil lors du Tour de France 1961


Espagnol de nationalité mais Français de cœur, je suis cette année-là le plus sérieux et dangereux rival du "cannibale" Eddy Merckx. Lors de la 11ème étape, je prends 9 minutes d'avance sur le Belge et obtient le maillot jaune.

Luis Ocana lors de la 11ème étape du Tour de France 1971


Alors que mes principaux concurrents Contador et Froome ont abandonné, j'assume mon statut de nouveau favori en remportant l'étape de Chamrousse et enterre tous les espoirs de titre pour mes adversaires.

Vincenzo Nibali lors de la 13ème étape du Tour de France 2014


Grimpeur belge de poche, je réussis à fausser compagnie à tous mes compagnons dans le col du Portillon et m'impose en solitaire au Plat d'Adet, ce qui me permettra de remporter mon seul Tour de France.

Lucien Van Impe lors de la 14ème étape du Tour de France 1976


Alors que j'ai gagné à l'Alpe d'Huez la veille, m'emparant par la même occasion du maillot jaune, je pars en solitaire sur les pentes du Galibier et gagne à Sestrières avec 7 minutes d'avance sur Jean Robic.

Fausto Coppi lors du Tour de France 1952


Ultra favori de l'épreuve même si c'est mon premier Tour de France, je remporte, après 140km d'échappée, l'étape Luchon-Mourenx et double mon avance sur mes adversaires.

Eddy Merckx lors de la 17ème étape du Tour de France 1969


Porteur du maillot blanc, je remporte ma première étape dans le Tour de France, au Plateau de Beille, devant le danois Michaël Rasmüssen, que je n'arrive toutefois pas lâche,r et tous les autres leaders. 

Alberto Contador lors de la 14ème étape du Tour de France 2007


Deux fois deuxième du Tour d'Italie et du Tour de France, mon style résolument offensif fait de moi un des chouchous du public. En 1992, je pars d'ailleurs dès le début de l'étape avec 8 compagnons que je lâche au fur et à mesure, m'imposant à Sestrières après avoir parcouru les 100 derniers kilomètres tout seul.

Claudio Chiappucci lors de la 13ème étape du Tour de France 1992